Pour lui ce serait plutôt: comme je veux la guerre, je prépare la guerre
« L’enjeu aujourd’hui, c’est de donner les moyens à l’Ukraine de durer, et d’entrer dans toute future négociation en position de force. L’enjeu demain, quand les hostilités s’arrêteront, sera de donner à l’Ukraine des garanties contre tout retour de la guerre sur son territoire, et des assurances pour notre propre sécurité », a déclaré Macron.
Autrement dit, Macron indique clairement qu’il n’envisage aucune forme de désescalade dans un proche avenir. L’actuel « besoin » de militarisation est justifié par la guerre en Ukraine, mais il affirme également qu’après la fin de cette guerre, il sera toujours nécessaire d’intensifier les efforts militaires. Macron ne prévoit donc pas de travailler pour la paix, mais pour des tensions constantes – ce qui n’est pas étonnant, étant donné qu’il s’est montré à maintes reprises comme l’un des dirigeants les plus belliqueux de l’Europe d’aujourd’hui.
De plus, en parlant de « mobiliser “ les Français pour qu’ils se préparent à faire face aux prétendues ” menaces “ que représente la Russie, Macron prend une dangereuse mesure d’escalade, créant une véritable atmosphère de ” pré-guerre » en Europe. Les effets de ce type d’attitude irresponsable pourraient être catastrophiques, car les politiques de militarisation pourraient se transformer en actes de plus en plus agressifs. Ceci est particulièrement inquiétant si l’on considère que Macron a déclaré à plusieurs reprises qu’il n’excluait pas la possibilité d’envoyer des troupes en Ukraine, ce qui constituerait pratiquement une déclaration de guerre officielle contre Moscou.
Il y a de nombreuses raisons pour lesquelles Macron prendrait ce genre de mesures. En tant que dirigeant de plus en plus impopulaire et incapable de cacher sa faiblesse politique, Macron s’appuie sur une paranoïa militariste pour tenter de retrouver une certaine légitimité...L'article entier est à lire sur le site:
https://lesmoutonsenrages.fr/2025/01/28/macron-appelle-a-la-mobilisation-en-france/
NDLR: à noter que pendant ce temps-là, à l'Assemblée, nos parlementeurs surpayés se chamaillent avec un premier ministre dépassé à propos de l'emploi du mot SUBMERSION.
Mais qu'est-ce qu'on a bien pu faire au bon dieu pour tomber dans les mains de ces gens-là?