Dans un article mis en ligne le 11 janvier dernier, nous avions annoncé que Renaud Beretti se préparait à être candidat dans la 1ère circonscription de Savoie pour l'élection législative de juin (voir lien plus bas).
Naturellement nous n'étions pas devins et ce n'est pas par hasard que la "fuite" était remontée jusqu'à nous. On avait d'autant plus facilement relayé cette information que le Béret' nous en avait, certes indirectement, apporté une belle confirmation.
En effet, après avoir rappelé que les candidats à la législatives de juin 2022 ne pouvaient plus utiliser les moyens publics pour se faire de la publicité dans les six mois précédant le scrutin, nous avions constaté que, en sa qualité (sic) de président de Grand Lac, Beretti avait bien pris soin de ne pas signer de son nom le traditionnel éditorial du magazine de l'agglo daté de janvier 2022:
Et la preuve que cette "omission" cachait bien son intention d'être candidat à la législative (et non pas motivée par une soudaine modestie ou un souci de discrétion), dans le numéro du magazine Grand Lac daté de juin 2022, la signature avec le nom du Béret' est revenue. Coucou, la revoilou:
Et dans le même magazine de juin l'incorrigible m'as-tu-vu n'hésite même plus à mettre sa tronche en photo à la fois en première page et dans une pleine page qui lui est consacrée (cf ci-dessus à gauche).
CQFD: il était bien candidat à la candidature en janvier et maintenant qu'il ne l'est plus il laisse libre court à son narcissisme!
Bon, maintenant, on explique ce qu'il s'est passé.
En janvier, le Renaud escomptait réellement présenter sa candidature. Il n'y mettait qu'une seule condition: que les Macronistes ne désignent pas Marina Ferrari pour les représenter. Il a tout fait pour les en dissuader. Mais rien n'y fit. Au lendemain de la réélection de Macron les jeux étaient faits et la Marina (bée des anges) recevait la promesse d'investiture présidentielle.
Et voilà comment le Béret' enregistre son premier camouflet de sa longue carrière d'intriguant politique.
Et si il est vrai, selon J. Chirac, que les emm. volent en escadrilles, quelque chose nous dit que cela ne devrait pas s'arrêter là...
Lien vers l'article de janvier dernier: