Revue de Presse: LES GENS DU DAUBÉ SONT-ILS DEVENUS FOUS ?

ATTENTION, C'EST JUSTE UNE QUESTION, ON N'AFFIRME RIEN


On va voir, au fur et à mesure de cette revue de presse, pourquoi on peut légitimement, et sans crainte d'être poursuivis, se poser la question en titre: les gens du daubé sont-ils devenus fous?

On va y aller crescendo

Juste une mise en bouche pour commencer avec cette belle photo d'un Beretti, radieux et au premier plan, venu honorer de sa présence le départ en retraite d'une modeste fonctionnaire inconnue du grand public, manifestation
(?) que le daubé a relatée dans toute sa magnificence:

NDLR: On a même l'impression que le Béret' est en train de s'applaudir lui-même.

Voilà une grande première qui en appelle d'autres. Il doit en effet y avoir quelques centaines d'agents de services publics qui partent chaque année en retraite dans l'environnement aixois. Soit au moins trois ou quatre par semaine. D'ici le mois de juin, cela pourrait donner l'occasion au daubé de publier une cinquantaine de fois la photo du Béret' pour l'aider dans sa campagne d'intox et d'infantilisation de son électorat. Une histoire de fous?


Poursuivons cette revue de presse avec cet autre article paru dans l'édition aixoise du dauphiné libéré de tout complexe où l'on peut voir le sieur Beretti, revêtu de sa belle écharpe tricolore, rendre hommage à, euh, à... A Ernesta Galvanauskas. Bref, à un illustre inconnu:


La légende et le texte nous apprennent que cet inconnu était un ex-premier ministre lituanien (à ce stade de l'info on a déjà perdu ceux qui ne savent pas où situer la Lituanie sur une carte) né en 1882 et mort en 1967. On continue l'explication de texte..?
Alors, pourquoi Beretti a-t-il tenu à rendre hommage à cet inconnu en ce mois de mars 2022? Eh ben, eh ben, parce que... Parce que, attention on se tient bien et on ne rit pas, parce que le 20 novembre prochain (si, si, dans huit mois et demi) ce sera, attention, ce sera, ce sera le 140 ème anniversaire de sa naissance! Véridique, c'est écrit comme cela dans le daubé.
Quand on pense qu'en mars de l'an dernier on a raté la pré-célébration du 139ème anniversaire de sa venue au monde..! Quelle misère!
Une demi page avec photo, pour célébrer un non évènement qui aura lieu dans huit mois et demi à propos d'un illustre inconnu, là on est en droit de se poser la question: le daubé et Beretti sont-ils fous ou se fichent-ils ouvertement de la tête des citoyens lecteurs?

Mais on arrive au sommet de l'interrogation sur la folie des hommes avec cet article paru dans toutes les éditions du dauphiné libéré:

Eh, oui, le DL n'hésite pas à poser la question qui tue: Poutine est-il fou?
Une question à laquelle l'article, modestement signé de deux initiales non identifiables, n'hésite pas non plus à apporter des éléments de réponse, tels que, selon un de ses opposants Poutine serait un malade mental, ou encore qu'il serait en pleine paranoïa. Entre autres gentillesses, le daubé laisse entendre que, selon un rapport du Pentagone (ben voyons) il serait atteint du syndrome d'Asperger. Voire selon la rumeur, ah, la rumeur, il serait également frappé par la maladie de Parkinson. On en passe et des pires.

Quand on lit cela, on se dit que nous aussi on a le droit de nous poser des questions. Par exemple, les gens qui écrivent  ou laissent publier de telles accusations sur la santé mentale du dirigeant de la Russie sont-ils devenus fous? Sont-ils atteints de paranoïa? Cachent-ils, derrière ces insanités, un état dépressif ou morbide?
Ou bien, comme le laisse entendre une rumeur, ne sont-ils que les valets stipendiés d'une coalition déterminée à semer le doute et la terreur à des lecteurs cacochymes et incapables de réfléchir par-eux-mêmes. Ceci dans le seul but d'asservir la population et d'asseoir leur pouvoir?
Attention, hein! C'est juste des questions qu'on pose. On n'affirme rien. On rapporte juste, comme le daubé, des on-dits, des rumeurs, des ils se pourrait que. Ce n'est pas de la diffamation. C'est une nouvelle manière d'informer. On ne fait que copier le bel exemple que nous offre ce grand journal indépendant et honnête.

Un grand journal, à peine subventionné à coups de millions par les contribuables, qui, en toute indépendance et surtout pas pour complaire à notre grand-chef-de-guerre-candidat-à-sa-succession, n'a pas hésité à publier ce déchirant appel sur toute sa première page:


Ah, bon, parce que ce serait la guerre en Ukraine qui menace aujourd'hui
notre liberté? Et c'est le daubé qui va la défendre, cette liberté, ce canard qui n'a jamais trouvé un mot pour critiquer les entraves à notre liberté que les covidistes nous ont imposées dans le seul but de nous asservir.   

Eh oui, Parfois, dans un accès de parano, certains pourraient se demander si tous nos va-t-en-guerre d'aujourd'hui ne sont pas du même métal que ceux qui ont retourné leur veste en 40, pour fuir à Bordeaux ou à Vichy ou pour créer Radio Paris ou "Je suis partout". Partout où il y a de l'oseille à ramasser tout en restant bien à l'abri, bien entendu.
Une histoire de fou, quoi!

Allez, une petite dernière pour la route? D'accord, on y va.
Article et photo parus sur le site d'un hebdo local:


Après nous avoir joué  "Je suis Charlie", les Charlots nous jouent "Je suis Ukrainien"

A.C.

 NDLR: n'oubliez pas non plus de cliquer sur "On nous prend pour des C" en haut à droite de la page de garde