Que de choses se sont passées depuis notre article du 23 septembre dernier !
A travers cet article, l'auteur faisait part d'un échange avec la fille d’un pâtissier au sujet d’une récente affiche annonçant au dessus du comptoir que toutes les pâtisseries étaient faites à base de gélatine de poisson et il s'interrogeait de savoir s'il s'agissait d'une forme d'acceptation d'une certaine pression culturelle, voire cultuelle, qui pouvait apparaître comme une forme de soumission à un interdit religieux.
La réponse de la commerçante avait été, et cela était précisé, "qu’il avait été décidé de remplacer la gélatine de porc par de la gélatine de poisson pour une question d’hygiène". Soit! Mais cela n'empêchait pas une certaine perplexité partagée dans l'article du 23 septembre.
Dès lors, ici nous n'imaginions pas deux choses :
- que l'article serait lu plus de 20 000 fois (et il est encore très lu) ;
- qu'un pâtissier, dont le nom n'avait pas été cité, réagirait à cet article et lui donnerait un écho encore plus fort que la réflexion qui avait été lancée.
20 000 vues !!
Le nombre de vues record de cet article nous a surpris, la diffusion de celui-ci était chaque jour grandissante et cela continue ! Cela nous permet de penser qu'il y a là un vrai sujet de société et de préoccupation chez bon nombre de nos concitoyens et qu'il y a donc là un débat à ouvrir. En ces temps d'élections, quel vrai sujet !
Un pâtissier a réagi !
C'est la pâtisserie Chanvillard qui, début novembre, envahissait les réseaux sociaux, son site internet, et différents médias en affirmant avoir été mise en cause dans le journal d'aix-les-bains. Nous laisserons le soin à nos lecteurs de relire l'article du 23 septembre (lien en fin de page) que nous garantissons comme inchangé.
Si la maison Chanvillard est aujourd'hui affectée par la publication de l'article du 23 septembre, nous en sommes navrés mais nous tenons à rappeler que le nom de cette maison n'avait jamais été cité ici auparavant, malgré les demandes insistantes de journalistes et de particuliers ; et que c'est cette maison qui, par sa communication tous azimuts, s’est mise d’elle-même sur le devant de la scène. Nous ne sommes pas responsables de cette situation. Quant aux contradictions que nous pouvons relever dans les différents articles publiés, elles ne peuvent qu'alimenter les questionnements des lecteurs qui, comme nous, lisent les différents organes de la presse papier locale.
Et si nous revenions sur l'esprit de l'article du 23 septembre ?
Aujourd'hui, la campagne de presse de la pâtisserie Chanvillard perdure. C'est son choix. En ce qui nous concerne, nous rappelons que l'objectif initial était uniquement d'attirer l'attention sur les avancées insidieuses de l'islamisation, au sein de la société française, dont même la philosophe Elisabeth BADINTER, épouse de l'ancien ministre socialiste de la Justice, dénonce avec fermeté les dangers et la démission généralisée qui l'accompagne, dans une préface remarquée du récent livre "Une France soumise" (éditions Albin Michel). Le lien vers cet ouvrage (en vente chez Amazon) se trouve ci-dessous.
Lien vers l'article du 23 septembre : "L'inacceptable soumission du pâtissier !"
Lien vers le livre "Une France soumise - Les voix du refus " en vente chez Amazon