Une autre façon de voir les
choses.
Complotisme ou pas ? Le
problème avec les complotistes, c’est qu’ils ont souvent raison trop tôt.
Pour aider nos élus à prendre une décision, ils pourraient lire ce
document.
ZFE. A-t-on le
droit de se poser des questions?
Article à lire !
Bravo les ZFE. Digne héritage de Malthus. (de Jules Seyes)
Franchement, force est
d‘admirer les ZFE. Elles ont été construites avec un talent incroyable pour
réaliser la quintessence de la politique dite écologiste.
Permettez-moi de
briguer mes galons de complotiste et de m’offrir à la vindicte des soidisant fact-checkeur,
la seule médaille d’honneur restant dans notre monde. Il convient que je me
dépêche, la génération actuelle risque de disparaître si ses fonds s’assèchent.
Je ne voudrais pas manquer l’ultime distribution !
Donc, commençons
avec notre premier présupposé :
L’État est un
moloch, il vit pour se reproduire. Pour cela il a besoin de l’autorisation de
la société et l’obtient de deux manières : En permettant l’enrichissement de la
caste supérieure ou ses déprédations, puis, il paie la caste inférieure en
fausse monnaie. Il lui raconte simplement une histoire selon laquelle il assure
sa protection et selon ce narratif, sans État, la vie du peuple serait pire. La
valeur performative du langage vous permet toujours décrire une réalité
différente bien plus désastreuse, impossible donc, de vous contredire.
Comme vous le
voyez, je viens de vous définir ce que l’on nomme état profond dans le débat et
qui selon les fact-checkeurs n’existe pas. Hélas, il est possible d’identifier
des groupes sociaux avec des similarités culturelles et des intérêts financiers
qui tous remontent finalement à un ruissellement de différentes formes d’argent
public fruit des impôts prélevés sur la richesse crée par les peuples.
Brisons là, nous
avons posé le cadre et les ZFE s’inscrivent exactement dans ces déprédations
qui ruinent une part considérable de la population dont on rend les véhicule
invendables (En conséquence par exemple, leur cote argus tombera et ces gens
recevrons à peine un remboursement misérable en cas d’accident et devront au
contraire racheter un véhicule coûteux en remplacement dont ils n’ont pas les
moyens ! Pour eux, ce sera la fin de la voiture.) Premier coup admirable de
précision et de nuisance !
Ensuite, bien sûr,
on exclut ainsi une partie considérable de la population du bénéfice des
centres-villes, même si ceux-ci restent pourtant une zone de concentrations de
services, y compris administratifs. Comment par exemple, se rendre au tribunal,
aller faire des papiers en préfecture ? Ah oui, les victimes devront utiliser
des transports en communs dont le coût s’ajoutera à la possession de leur
véhicule ! En bref, plus de procès, plus de papiers pour les pauvres ! Second
coup admirable de précision et de nuisance !
Avec une mesure
dite technique, nous créeons alors une sous-classe de citoyens exclus d’une
large partie des biens publics. Force est de constater que seuls les Kieviens
avec leur loi sur les langues avaient fait aussi bien. Comme quoi, les gens
nuisibles progressent !
Alors, bien sûr, on peut parler d’erreur, de loi mal évaluée et penser les promoteurs de la mesure désireux de créer le bien et seulement maladroit. Si c’est le cas, permettez-moi un discours de haine assumé : Ceux aussi limités intellectuellement devraient être invités à en tirer les conséquences et trouver un emploi à la hauteur de leurs faibles capacités où ils ne nuiront pas à leurs concitoyens. (Je vous accorde, ces gens risquent d’être moins bien payés, mais ma pitié est limitée.) Le peuple n’a pas à supporter la bêtise. Hélas, je n’accorde même pas cette circonstance atténuante.
Les ZFE ne sont
pas un nuage soudainement apparu dans un ciel serein, mais ils sont, au
contraire, l’étape actuelle d’un long cheminement fait de mensonges et de
mesures nuisibles aux peuples.
Bien sûr, les ZFE
viennent de la menace sur le changement climatique, dogme du GIEC organisme
créé pour selon sa fiche Wikipédia1 :
Le Groupe d'experts intergouvernemental sur
l’évolution du climat ou GIEC
(en anglais Intergovernmental panel on
climate change ou IPCC) est un organisme
intergouvernemental chargé d'évaluer l'ampleur, les causes et les conséquences
du changement climatique en cours.
Mais,
curieusement, plus loin on trouve le rôle du GIEC selon sa propre documentation2 :
« [Il] a pour mission d’évaluer, sans parti pris et de façon méthodique,
claire et objective, les informations d’ordre scientifique, technique et
socio-économique qui nous sont nécessaires pour mieux comprendre les risques
liés au réchauffement climatique d’origine humaine, cerner plus précisément les
conséquences possibles de ce changement et envisager d’éventuelles stratégies
d’adaptation et d’atténuation19.
»
Vous
remarquerez un classique des fiches wikipédia bien construites dans des buts
politiques. Tout d’abord, on préempte le débat : La question n’est pas de
savoir si il y a un changement climatique, mais celui-ci est posé comme un
dogme.
Inutile donc de se
demander comment on a pu passer d’une époque où l’on craignait un
refroidissement climatique à un réchauffement puis, c’est devenu le changement
(Hélas, j’ai de la mémoire), ça n’est pas le rôle du GIEC. Dommage, j’aimais
bien "La compagnie des glaces", j’imagine que mes collègues auteurs
de science-fiction sont désormais priés d’écrire, "Les voiliers du
soleil" ! Oups, je me rappelle de l’époque où on nous martelait le
réchauffement climatique !
Mais, plus
amusant, l’en-tête de Wiki ne reprend pas le rôle du GIEC placé avec soin au
milieu de la page. La différence essentielle étant que le texte de 1998, donc
au début du GIEC, parle de réchauffement climatique d’origine humaine.
Merveilleux, la messe est dite, il est inutile de débattre, le GIEC existe, car
le changement climatique résulte des comportements, forcément condamnables de
ces vilains humains. Donc, le GIEC signifie que le changement climatique de
Mars3 est dû
à ces martiens qui partent se promener en soucoupe volante dans Vallée
Marineris. Je présumerais donc que les soucoupes volantes fonctionnent avec des
combustibles fossiles extraits du bout de leurs tentacules par des martiens
désireux de détruire leur biosphère.
Brisons là, le
ridicule ne tue pas, cela m’évitera une convocation par le procureur de la
république pour avoir assassiné toute l’assemblée du GIEC. Plus amusant, en
1998, lors de la création du GIEC, la responsabilité humaine était estimée
suffisante pour créer un GIEC, mais en 2017 on publiait des rapports pour
affirmer qu’il était désormais prouvé scientifiquement que l’activité humaine
était le premier facteur aggravant du réchauffement climatique4.
Là encore, tout
est dans le choix des mots et première cause aggravante signifie que le
réchauffement climatique est une réalité même sans intervention humaine.
Pourquoi alors limiter le rôle du GIEC à la partie humaine ? Nous devrions nous
adapter à l’intégralité du changement.
Là, encore, je me
réjouis que le ridicule ne tue plus, la prison serait un mauvais séjour pour
mes articulations !
Mais continuons à
nous promener dans les coulisses du GIEC, selon sa fiche wikipédia les
créateurs du GIEC avaient aussi des intérêts politiques : Il est également
souvent mentionné la motivation de ses sponsors de contrer les syndicats
britanniques des mineurs de charbon tout en soutenant le nucléaire en tant que
source d'énergie propre pour remplacer le charbon. Ils ont raison, cela fait
moins de ces sales ouvriers5 !
On ne saurait
mieux dire et ceci explique peut-être pourquoi les coupables sont désignés avant
même l’ouverture du procès comme dans tout bon tribunal révolutionnaire. Le
GIEC est et reste un moyen d’atteindre des buts politiques !
Comme exclure les
gueux de la citoyenneté grâce à un filtre par l’argent ? Où juste ruiner leur
niveau de vie en augmentant de façon insupportable leurs dépenses contraintes ?
Dans ce but, les ZFE sont une merveille digne d’éloges !
L’œuvre du GIEC
avec les crédits carbones, les politiques pro voitures électriques et autres
billevesées au service de certains lobbys a d’ailleurs pleinement atteint son
objectif.
En revanche les
menaces du discours écologistes, si elles sont graves, peinent à se réaliser.
La Terre ne possède qu’une seule biosphère dont nous dépendons tous. Se placer
en oracle des catastrophes à venir permet de peser sur les choix de chacun et
nul ne peut ignorer la menace. Seulement, nul ne devrait jouer avec de telles
menaces si elles sont fausses, car nous connaissons tous l’histoire de l’enfant
qui criait au loup. Menacer de catastrophe écologique à tort, surtout si
l’erreur n’est pas de bonne foi, devrait être poursuivit comme un crime contre
l’humanité, car on crée le risque de ne pas prendre au sérieux si une véritable
menace venait à naître.
Or, le GIEC fut récompensé en 2007 par un
prix Nobel attribué en commun avec Al Gore pour son documentaire "An
inconvenient Truth". Les désastres annoncés par Al Gore6
ne se sont pas réalisés, mais il est devenu millionnaire. On meurt d’envie de
le dire : Qui se ressemble s’assemble et l’effort de propagande semble plus
fiable pour entrer les dogmes dans la tête des populations que pour avoir un
réalisé dans la réalité. Après tout, comme le disait Goebbels, un mensonge
répété mille fois devient une vérité, combien de fois nous a-t-on martelé le
changement climatique ?
Hélas, le réel résiste ! On se souviendra de la prévision d’Al Gore en 2007
où la banquise devait disparaître en 7 ans7
! Mauvaise propagandiste, la banquise n’a pas disparu, dommage pour la
crédibilité.
En ce sens, le
GIEC n’est que l’héritier d’une très longue liste de catastrophes annoncées. On
se rappellera ainsi ces scientifiques qui nous annonçaient que Marseille serait
submergée. Elle l’est, mais par la criminalité et les ordures, pas par la mer.
Peut-être, les Marseillais vivraient-ils mieux si l’argent gaspillé dans cette
soi-disant écologie avait été investi dans la création d’emploi et d’activité à
véritable valeur ajoutée !
Car, même si le
GIEC est le dernier avatar de ce dogme de la responsabilité humaine dans les
troubles environnementaux. À chacun son explication (Refroidissement,
réchauffement, un nous disait même fin de l‘oxygène), mais toujours le même
responsable : L’homme coupable de ne pas vouloir mourir de faim et désireux de
vivre correctement ! Quel scandale !
Avant le GIEC nous
eûmes ainsi l’histoire du Club de Rome. Là encore, la science parlait avec des
scientifiques et un rapport apocalyptique sur les limites de la croissance. La
croissance devait cesser, l’humanité décroître dans la misère et l’écologie
s’effondrer au XXIè siècle. Certes, mais nous sommes désormais en 2025 et les
médias sont emplis de la guerre en Ukraine, pas de l’effondrement démographique
de l’humanité !
Encore, une fois
un prévisionnel basé sur la loi des rendements décroissants échoue sur le mur
de la réalité, mais, au lycée, mes enseignants me parlaient du rapport comme
essentiel. Bien des professeurs dont les travaux ont plus de liens avec le réel
auraient mérité cette notoriété !
Mais curieusement,
la notoriété a ses raisons que la raison n’entend pas. Elle est comme l’amour,
pas forcément rationnelle, mais curieusement, elle semble couronner les
Cassandres qui nous annoncent la catastrophe écologique et seulement eux !
Serait-elle sélective ?
On finirait par se
le demander, connaissez-vous Malthus ? Certainement !
Connaissez-vous
Francois Quesnay ? Beaucoup moins parmi vous, j’imagine !
Quant à Guilbert,
je n’ose interroger ! Après tout, il fut à peine le concepteur de la division
de la révolution et de l’Empire, un modèle, toujours pertinent aujourd’hui dans
la structuration des armées. Un auteur négligeable alors que Malthus avait
l’immense avantage de nous annoncer la catastrophe en raison des rendements
décroissants de l’agriculture.
Certes le travail
de Malthus est plus fin que la caricature que l’on nous en présente, car dans
son monde l’industrie peut avoir des rendements croissants. Hélas, le pasteur a
manqué l’industrialisation de l’agriculture. Qu’importe, on a conservé la thèse
utile : Celle utile pour faire peser sur les plus pauvres la charge de
l’ajustement.
Car voilà qui semble finalement la clé que nous cherchions : Le monde va à
la catastrophe, sauf si le pauvre accepte les efforts pour s’ajuster, car bien
sûr Matlhus ne voulait pas imposer cet effort aux riches.
Ils étaient, après
tout, si peu nombreux !
Aujourd’hui, il en
va de même, on doit limiter les voitures des gueux dans les ZFE, mais pas les
voitures de luxes modernes pourtant plus lourdes. Encore moins, les jets privés
ou les yachts des milliardaires, quant aux portes containers et navires
appartenant aux grands trusts, pourquoi en parler, leurs rejets de CO2 sont
bien évidements négligeables !
En réalité, là encore, le débat est préempté par la solution à atteindre : Il y a trop de pauvres, il faut en réduire le nombre et pour cela, leur pourrir la vie,
Il est vrai que le
Marquis de Sade n’est pas forcément mis en avant lors des discussions sur
l’écologie, il est trop sulfureux. Oserait-on dire, peut-être car il dévoile
trop les indiscibles mobiles des promoteurs de l’écologie ?
En complément, retrouvons ce cher Orwell pour permettre à chacun d’apprécier la cohérence entre Sade et l’anglsocd’Océania !
Quelle
merveilleuse concordance, Sade fait écho à Orwell et il vous établit le lien
avec Matlhus et la pseudo-écologie. On retrouve même, sans surprise, le
discours de Davos sur les surnuméraires. Voilà l’essentiel : Il faut que les
pauvres soient pauvres pour maintenir la structure hiérarchique de la société
source de tant d’abus si pratiques pour permettre aux dirigeants d’assouvir
leur soif de richesse et peutêtre même de luxure.
Faut-il s’étonner
alors, si Sade et Malthus sont contemporains de la période des droits de
l’homme ? La bourgeoisie avait besoin de ces garanties juridiques pour écraser
la royauté, mais il n’a jamais été dans ses plans d’en faire bénéficier les
peuples. Autrefois, la pauvreté les excluait de la justice pour faire valoir
leurs droits15,
désormais, les peuples ont tout de même une légère marge de manœuvre et
certaines bonnes osent assigner leurs employeurs au tribunal16 !
Car, deux guerres
mondiales plus tard, la nécessité de mobiliser la main d’œuvre pour construire
les lourdes infrastructures de la société industrielle ont contraint à lâcher
du lest17.
Il est temps de le
reprendre et de serrer le cou des peuples, par l’écologie qui permet grâce à
une menace sublimée de créer un cadre juridique qui exclut les gueux des
bénéfices de la société !
Bravo, grâce aux
ZFE, un grand pas à été fait dans la direction de cette société où les pauvres
n’ont aucun droit. On les exclut de l’accès aux zones où se trouvent les moyens
de réclamer ou de protester !
Mais comme nous
l’ont appris les impressionnistes, ce qui fait l’œuvre est l’ensemble des
points. Alors essayons d’observer l’image globale !
Comment dire :
L’école est systématiquement détruite, premier pas vers l’ignorance. Les médias
sont devenus dispensateurs d’un dogme sans lien avec la réalité, second pas
dans la même direction.
L’écologie permet
de monter les coûts contraints et devient donc une machine à fabriquer de la
pauvreté en réduisant la valeur réelle des salaires et de l’épargne des
peuples. Mention spéciale aux diagnostiques énergétiques qui vont exclure des
centaines de milliers de logements du marché.
Et maintenant, elle hiérarchise les populations, augmente les chaînes
imposées et nous attendons avec impatience la limitation des voyages entre la
classe des citoyens autorisés à voyager et ceux rationnés, car il faudra bien
les assigner à résidence, voire dans la ville 15 minutes qui est bien sur un
thème complotiste18 tant
que le gouvernement n’en a pas parlé !
De même, la menace
sur cette chère Gaïa permet une idéologie de "no kids". Par
l’appauvrissement, la culpabilité, on invite les populations qui ont bénéficié
d’un niveau de vie honorable durant les trente glorieuse à disparaître, au
profit de populations plus malléables ! Il suffit d’observer l’effondrement des
taux de fécondité pour constater l’atteinte de l’objectif !
Nous avons
fait le tour, de l’analyse et dans ce petit historique des organismes et des
propagandes créent pour nous faire culpabiliser19,
montré la redoutable mécanique à l’œuvre. Maintenant l’heure sonne pour la
police de la pensée d’ouvrir le feu !
Car bien sûr, le débat public dans un monde d’ignorance où le peuple est écrasé ne saurait se faire dans le cadre d’un échange rationnel. Les motivations sont indicibles ! Il faut recourir à l’injure, l’insulte, l’intimidation et la violence. L’Oceania avait la police de la pensée, nous avons les fact-checkeurs, mais nous aurons sûrement bientôt mieux au fur et à mesure que le programme sera déroulé et imposé aux peuples dans le mépris le plus évident de leurs droits politiques !
(A méditer.)
BF