Une loi liberticide et totalitaire a été votée.

On n’entend ni la presse, ni nos élus locaux.


On aimerait entendre nos députés locaux et Marina Ferrari.
On trouve dans la presse Suisse des articles signés par quelques journalistes que personne chez nous ne diffuse et commente.
Et pourtant, certains articles devraient faire l’objet de la ‘’UNE’’ dans la presse tant ils sont importants.
Le 6 mars 2024, une loi liberticide et totalitaire réprimant les propos privés a été votée.

 

Extrait :
‘’Répression des propos racistes ou antisémites non publics. La proposition de loi transforme en délit les contraventions actuellement prévues en matière de provocation, de diffamation et d’injure non publiques à caractère raciste ou discriminatoire. Il s'agit de mieux sanctionner les propos tenus dans le cadre d’une communauté d'intérêts, par exemple en entreprise, dans un service public ou sur une messagerie privée. Cela permettra de condamner leurs auteurs à une amende maximale de 3 750 euros.’’

 ‘’Proposition de loi, visant à renforcer la réponse pénale contre les infractions à caractère raciste, antisémite ou discriminatoire.’’.
La séance de l’Assemblée nationale propose de faire des propos privés jugés discriminatoires un délit !
C’est une dérive liberticide et totalitaire. 
Ce texte a été voté à l’unanimité : quiconque fera dans un cadre PRIVE une plaisanterie susceptible d’être interprétée comme ‘’raciste, homophobe, etc …’’(interprétée par qui ?), pourra être traduit en correctionnelle sur simple délation. 

Un journaliste pose des questions, on attend des réponses des élus.
Totalitarisme ? Pas un député pour s’inquiéter de l’extension du délit d’opinion à la sphère privée, alors que l’abolition de la frontière entre public et privé caractérise le totalitarisme. Preuve de cette dimension totalitaire, ces délits seront instruits sur … ‘’délation’’ !
Vers le tout discriminatoire ? Pour faire passer en douce ce projet totalitaire, les députés mettent en avant la hausse de l’antisémitisme. Mais la loi vise en fait tous les propos prétendument discriminatoires : exemple, les propos relatifs à l’orientation sexuelle.
Exemple concret ! Un parent qui argumente en famille contre la ‘’transition de genre’’ de son enfant au motif qu’un être humain ne peut changer de sexe pourra-t-il demain être poursuivi pour ‘’propos discriminatoire’’ par l’association LGBT qui tient son enfant sous son emprise ?
Police de la pensée ! Comme les précédentes lois anti-discriminations, celle-ci ne vise pas seulement les ‘’actes’’ mais les ‘’propos’’. La conséquence inévitable est l’instauration d’une ‘’police de la pensée’’ chargée de traquer les propos divergents jusque dans la sphère privée.
.  Vers une extension à tous les sujets de controverse ? Dès lors que cette intrusion dans la sphère privée sera validée, pourquoi ne s’étendrait-elle pas à d’autres sujets de controverses. Au hasard : les politiques sanitaires, les questions climatiques, géopolitiques …
Conclusion. Quelles que soient ses intentions (chaque député y mettra les siennes), cette loi enclenche une effroyable mécanique liberticide et totalitaire que tous les amoureux de la pensée libre devraient combattre de toutes leurs forces. On peut (encore) rêver …

La démocratie ou la dictature des salopards.
Revoir le film de 2006, ‘’La vie des autres’’. La STASI en RDA, (République ‘’Démocratique’’ Allemande), dans les années 1980.
La démocratie n’est qu’un système collectiviste qui justifie la mainmise de l’Etat sur des pans entiers de la vie des individus, (santé, éducation, travail, culture, sociétal, etc.) par le fait que les décisions qui sont prises découlent d’une majorité, d’une minorité, (le cas le plus courant), ou d’un seul individu. Ces décisions sont imposées par l’Etat et priment sur les libertés individuelles. La liberté c’est de pouvoir décider par soi-même et pour soi-même sans se faire rien imposer, tout en respectant la personne et la propriété des autres. C’est aussi de faire des choses ensemble, mais uniquement sur une base volontaire.
Sarkozy s’est assis sur le référendum et Macron ayant été réélu, l’oligarchie se croit tout permis. On peut tout à fait imaginer avec la bande actuelle qu’il n’y ait plus d’élections. L’annonce d’une bonne petite guerre n’est-elle pas une bonne solution pour mettre en place l’annulation des élections ? Sans compter le soulagement des électeurs qui n’auront plus à choisir entre plusieurs listes de nullissimes vautours prêt à les dévorer.

BF