Pour exhorter les députés godillots à voter en faveur du passe vaccinal, Richard Ferrand, le président de l'Assemblée nationale, plein d'orgueil et de suffisance, a cité ce proverbe: "La liberté des Uns s'arrête où commence celle des Autres".
C'est ce qu'on appelle une inversion des valeurs, un vieux procédé de manipulation.
Car, Monsieur le repris de justesse*, ce proverbe peut aussi s'appliquer de cette façon: "La liberté des pro-vaccination s'arrête là où commence celle de ceux qui refusent les injections d'un produit en phase expérimentale et dont l'efficacité fait plus de doute que la dangerosité".
C'est donc au nom de cette liberté que dès aujourd'hui je revendique mon droit à refuser toute injection dans mon corps d'un produit dont je doute de l'utilité et dont je redoute les effets secondaires délétères.
Ce faisant, en refusant la piqûre au nom de ma liberté je ne porte aucune atteinte à la liberté de ceux qui font le choix (ou qui sont contraints) de se faire injecter un tel produit.
De même, si vos prétendus vaccins sont efficaces, je ne fais courir aucun risque à ceux qui l'ont reçu et je ne porte donc atteinte à leur liberté en aucune façon.
Alors votre loi et vos principes inversés, M. Ferrand, vous savez où vous pouvez les mettre?
Dans la seringue.
A bon entendeur.
J.G.
* Repris de Justesse: Mis en examen en 2019 pour une grossière prise illégale d'intérêt présumée commise alors qu'il n'était pas encore président de l'Assemblée, R. Ferrand a échappé au procès, non pas parce que les faits n'existaient pas mais parce que la plainte avait été déposée trop tard. Il a bénéficié en 2021 d'un non-lieu au nom de la prescription.
Voir aussi:
https://resterlibre.org/comment-et-pourquoi-devenir-objecteur-de-conscience-vaccinale/
https://planetes360.fr/video-louis-fouche-90-a-etre-vaccines-cest-une-blague/