Profession: élu à vie.
Très drôle, on trouve sur
le site de la communauté d’agglomération de Grand Lac, à la page Renaud
Beretti :
‘’Renaud
Beretti : aucune activité n’a été trouvée.’’.
Ce qui n’empêche
aucunement Dord de lui laisser sa place à la mairie. Peut-être trouve-t-il
qu’après tout, il n’est pas aussi débordé que ça. Dord a bien occupé la place
de maire 17 ans en étant très peu présent dans notre ville.
Personne, à part notre
Jupiter et sa pensée complexe, n’étant capable de gérer toutes ces fonctions
avec efficacité, on comprend l’état de notre ville ! Contrairement à Paris, en province les choses
ne sont pas très compliquées ! Pas besoin de ‘’pensée complexe’’. Les
choses sont simples : les élus locaux font conneries sur conneries, ils
sont élus et réélus ! Ils peuvent donc sans aucun souci cumuler les
mandats ! Plus ils cumulent, plus ils gagnent de pognon !
Basique !
Élu à vie : un drame pour la vie
politique française .
Nous assistons à
une perversion de la démocratie ! Un maire qui a détruit sa ville et qui
n’y est plus en odeur de sainteté nomme son successeur ! Ben voyons !
Pourquoi se gêner. Et tout ça, sans aucune honte. Nous nous retrouvons donc
avec un maire que l’on n’a pas élu ! Aux municipales, les citoyens votent
soit pour la couleur politique de la liste, soit pour la tête de liste !
Jamais pour les quidams qui se trouvent sur celles-ci, sachant bien qu’ils ne
sont là que pour servir de faire-valoir. Peut-être même, le connaissant,
n’auraient-ils jamais voté pour le remplaçant.
Dord reste conseiller
municipal et président de la communauté d’agglomération. Pourquoi se
poserait-il la question de savoir si on veut encore de lui ? Ayant une
haute opinion de lui-même il ne peut pas lui venir à l’esprit qu’il est rejeté
par les Aixois. Ces gens n’éprouvent jamais de honte ! (La bonne presse lui fait croire qu'il est champion du monde!)
Beretti, qui a
contribué par son suivisme intéressé à détruire notre lieu de vie, comprendra-t-il
que sa liberté, en tant que maire, consistera à faire tout ce que lui permettra
la longueur de sa laisse que Dord gardera en main ?
Pour info :
l’exemple Britannique dont les français feraient bien de s’inspirer ! A la
fin de leurs fonctions de premiers
ministres, ceux-ci ont tous démissionné de leurs postes de députés. Ils ne
siègent pas non plus à la chambre des lords à laquelle ils ont pourtant droit
en tant qu’anciens premiers ministres. Ils ont également démissionné de leurs
postes de chef de leurs partis politiques. Pour les britanniques, la fonction
est une charge au sens propre du terme, nécessairement provisoire, et non un
bâton de maréchal ! On ne s’accroche pas à ses mandats comme une moule à
son rocher ! Nos politiciens sont comme le sparadrap du capitaine
Haddock, (‘’Bougres d’extrait de crétin
des Alpes’’), impossible de s’en défaire. Ils ne représentent plus rien,
ils ont tout raté, mais ils continuent de donner des leçons au monde
entier !
Le gros problème
est que, comme on se traîne un Giscard qui donne encore des leçons alors qu’il
a été un des pires présidents (Quoique…), nos enfants se traîneront encore des
années un Dord et un Beretti !
Heureusement, la
‘’République’’ a un truc qui permet de repérer tous les gens à qui l’on doit
notre déclin: l’écharpe tricolore qu'ils portent et que très peu d'entre-eux méritent.
Dord, 34 ans en politique, Beretti
bientôt 30 ans!
Après 34 ans de
Dord et bientôt 30 ans de Beretti en politique : on va mettre des gilets
pare-balles aux gens qui travaillent au SAMU !!!! A part nous coller des
amendes, que font-ils pour la sécurité ?
Nos élus professionnels ont de l'imagination. Un problème? Des taxes et des amendes.
Aix, la ville qui part en quenouille. Un
exemple :
Depuis le début
de l’été une équipe de traîne-savates squatte la place Léon Grosse et ses
environs.
Ça commence vers
midi pour finir vers les trois heures du matin ! Ils ne font pas la
manche. Avec quoi ces jeunes adultes vivent-ils ? Ils n’ont pas
spécialement l’air de clochards. (Le dernier vrai clochard Aixois que l’on
voyait rue du commerce a été retrouvé mort il n’y a pas si longtemps du côté de
Grésy). Entre la nourriture des chiens, les téléphones portables haut de gamme,
les paquets de cigarettes fumés, (et autres !) les canettes de bière (et
pas n’importe laquelle !) ils claquent largement par mois la retraite
d’une veuve d’agriculteur. A noter le bruit des ‘’discussions’’ qui augmentent
proportionnellement au nombre de canettes au fur et à mesure que la soirée avance. De
quoi ces gens vivent-ils ? Qui se pose la question ? Nous avons la réponse.
Ils défèquent,
urinent dans les espaces vert voisins, sous les porches des logements, les
canettes et bouteilles vides pullulent, etc… A la nuit tombée, les femmes qui
rentrent de leur travail font de grands détours pour les éviter.
Une dame qui
rentrait chez elle à 23 heures a même vu , sur les marches d’escalier d’accès à
son immeuble, une paire de fesses nue qui s’agitait joyeusement sur une jeune
fille. Cette dame aurait pu être avec des enfants. A noter que cette gamine traîne
régulièrement avec eux, elle serait Aixoise et parait très jeune, peut-être même
mineure.
La municipalité a
multiplié les caméras de vidéosurveillance, le nombre de policiers municipaux,
etc… tout ceci nous coûte une petite fortune pour aucun résultat tangible!
Nos élus n’existant que par la communication, si tout ceci était efficace, le
daubé de service en aurait fait des pages entières.
Notre Beretti,
maître de guerre chargé de la sécurité, va-t-il un jour se réveiller ? La
sécurité ne consiste pas uniquement à traquer l’automobiliste .
N’accablons pas les gendarmes, policiers et policiers municipaux, ce ne sont
pas eux qui font dans leurs frocs, comme on peut l’entendre chez les branchés
aux nez poudrés télévisuels, mais les incapables qui sont au pouvoir ! Les Aixois sont bien placés pour savoir de quoi on parle. Allez, Renaud, on se
réveille, on se bouge, on se remue ! On ne vous paie pas pour aller de
réunions en réunions en campagne électorale permanente.
Quand la Traverse se lève.
Notre drôle
d’oiseau Dominique Dord est descendu de son perchoir par pur esprit de
sacrifice, (‘’je suis en fin de carrière,
il faut tirer les conséquences de ce qu’il se passe.’’) , il nous faudrait avoir
pour y croire une solide dose de naïveté dont le spectacle de la vie politique
nous a guéris depuis longtemps. Il est surement descendu de son perchoir pour dénicher une
autre planque où il va pouvoir continuer à y faire du gras. La place était
confortable par beau temps, mais quand le vent se lève, il est prudent de
mettre les voiles avant la tempête. Les quarantièmes rugissants, très peu pour
lui .