Dord et notre ville. Après 17 ans de règne sans
partage .
Notre Dominique
local depuis ‘’la pelle’’ du 18 juin 2017, ne va pas bien. Pour les savoyards,
le ‘’monchu’’ est devenu une ‘’sniule’’.
Il se voulait numéro
1 de la construction, mais il n’était qu’un béotien et un petit
fossoyeur de notre ville. Il a moins d'amis que de courtisans et
de réseaux. L’orgueil du solitaire est ombrageux, fuyant les occasions d’être
comparé il s’est cru incomparable. Mais que l’on en a vu de ces beaux
orgueilleux, fiers, revêches, méprisants, intolérants, tomber bien bas.
Le premier
adjoint, ce petit fonctionnaire qui court d’organisme officiel en organisme
officiel pour justifier ses nombreuses feuilles de paie a répondu un jour, à un
contribuable aixois qui lui citait en exemple une décision prise par les élus Chambériens : ‘’ Si vous n’êtes pas
content, vous pouvez toujours aller
habiter à Chambéry.’’. A quoi, le contribuable avait répondu ‘’qu’il se pourrait bien que ce soit lui qui
soit amené à quitter la ville avant les Aixois.’’. (N’a-t-il pas quitté en
catastrophe, en 2001, la mairie d’Albertville, année du scandale de l’usine
d’incinération ?) La controverse se passait dans le kiosque aux projets
communaux qui a ceci de particulier de ne jamais exposer de projet, mais de
mettre à disposition des brochures à la gloire de ‘’l’Elu’’ local.
C’est très long,
bien trop long ! Il faut du temps au petit peuple pour comprendre qu’il
s’est fait rouler, que ces bonhommes ne sont pas là pour eux, mais pour faire
une carrière qu’ils n’auraient jamais pu faire dans le privé où il faut être
rentable et où la médiocrité pas trop tolérée. Mais les électeurs cocus sont de
temps en temps comme les requins, quand ils mordent dans une fesse, ils ne
lâchent plus !
Il existe encore des villes où les élus sont
responsables. Exemples.
Le marché couvert d’une ville à peine plus
importante qu’Aix les Bains.
Clarté, propreté,
ventilation, un peu de chauffage l’hiver et des toilettes dignes de ce nom
réservées au public ou aux commerçants . Il fait bon y travailler, les
artisans ne sont pas traités comme du bétail.
La misère Aixoise ! On a comme une petite envie de passer certains élus à la plume et au goudron.
On vous épargne
la photo des toilettes publiques du marché couvert .
Le marché aixois
où l’on peut voir des pittoresques tréteaux savoyards supports de cageots et des
couvertures de stands en bâches du plus bel effet, sortes de cache misère
improvisés. Tout ceci n’empêche pas le placier de récupérer les taxes pour
boucher le puits sans fond municipal. Ce qui n’empêche aucunement les
bonimenteurs de foire d’y passer régulièrement en période électorale. Le reste
du temps ? Ces lamentables personnages ne roulent que pour eux.
On propose que la
prochaine réunion du conseil municipal se déroule dans les toilettes des halles
de la place Clemenceau ! Mais peut-être ne sentiront-ils rien, habitués
qu’ils sont aux remugles de la politique qui les fait vivre.
Trouvé dans un petit village :
Ci-dessus, toilettes femmes, hommes, handicapés ! D’une propreté jamais vue à Aix. Dans une petite commune de 738 habitants ! A la même échelle, notre ville d’Aix, devrait avoir 40 toilettes publiques. Ohé, Frugier, si un jour vous vous réveillez, savez-vous que les touristes aixois ne sont plus tout jeunes et que ceux-ci ont des vessies fragiles ?
Et pourtant !
Les habitants de
la ville qui dispose de ce marché couvert paient en moyenne :
. 416 € de taxes par habitants, pour Aix les
Bains, 600 € !
. La dette y est de 1100€ par habitant, pour
Aix les Bains, 1500 € !
Il en dit quoi,
notre Dominique ? Rien! Ça n'a jamais été son problème.
Une dure réalité .
Ayons une pensée
émue pour nos députés, ces gens qui ne sont rien.
N’oublions pas la
dure réalité des anciens députés battus et oubliés après le triomphe de La
République en Marche.
Notre
député-dépité ayant totalement disparu, il est heureux que l’ancien Président
de l’Assemblée Nationale, (l'ectoplasme Rugy), ait préparé un groupe de
travail afin de ‘’réfléchir’’ (Si, si !!!) aux manières d’éviter que ceux
qui s’engagent en politique soient ‘’condamnés
à être inemployables.’’ .
S’est-il posé la
question : sont-ils seulement ‘’employables ?’’ Poser la question,
c’est y répondre.
BF